Nous avons récemment reçu cet excellent texte de l’un de nos partenaires du programme de formation des moniteurs (programme « GAP »). Les stations canadiennes à l’échelle du pays accueillent plusieurs excellents programmes orientés vers l’obtention d’une certification de moniteur de snowboard de l’ACMS. Les choix sont nombreux et chacun d’eux offre une formation au style qui lui est propre présentée par des moniteurs et des évaluateurs de stage de l’ACMS de premier plan. Vous envisagez de devenir un moniteur de snowboard? Jetez un coup d’œil à l’histoire de Scott ci-dessous, effectuez quelques recherches et faites le saut!


MON PARCOURS DE L’ÉCOSSE À L’ENSEIGNEMENT DU SNOWBOARD PARTOUT DANS LE MONDE!

Originaire d’Aberdeen dans le nord de l’Écosse, Scott Beacom a obtenu sa première certification de l’ACMS en février 2014. En quelques années seulement, sa vie a complètement changé après avoir travaillé en tant que moniteur de snowboard qualifié de l’ACMS en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Japon ainsi qu’au Canada. Voici son histoire.

En 2013, je suis revenu de mes vacances hivernales annuelles dans les Alpes européennes. Je travaillais pour la même société d’ingénierie depuis 10 ans, depuis que j’avais terminé mes études, et quelque chose clochait; j’avais l’impression d’avoir besoin d’un changement! J’aimais le snowboard et je caressais même le rêve illusoire d’être en mesure de poursuivre une carrière en tant que moniteur de snowboard. Sans vraiment croire que cela serait possible, j’ai commencé à étudier la possibilité d’obtenir mes certifications de moniteur et d’amorcer une carrière dans l’industrie des sports de glisse. À l’âge de 27 ans, j’ai pensé que si je voulais le faire, c’était le moment!

En commençant à examiner les possibilités, j’ai réalisé que le travail en tant que moniteur de snowboard était peut-être plus qu’un rêve illusoire. L’option était là de « faire cavalier seul » et de simplement me présenter aux examens de moniteur, mais après avoir grandi en pratiquant le snowboard une semaine par année, j’ai cru préférable de réserver un cours de formation prolongé et de m’engager pleinement dans ce plan.

Même à cette étape le choix n’était pas simple, puisqu’il y avait une foule d’options de cours! Toutefois, j’ai rapidement réalisé que le Canada était l’endroit où je voulais aller. Comme j’ai passé mes années de formation à surfer sur la glace et dans la gadoue sur une colline en Écosse, avec la pluie tombant à l’horizontale, il est juste de dire que j’étais emballé par la possibilité de me rendre au Canada! L’obtention des certifications de l’ACMS était aussi un facteur déterminant de ma décision de choisir le Canada. Je savais que les certifications de l’ACMS me fourniraient une excellente base pour ma carrière en enseignement du snowboard, une voie clairement définie pour faire progresser ma carrière, l’adhésion à une importante communauté de collègues moniteurs enseignant selon une méthode commune et la chance de travailler à l’échelle internationale avec une certification hautement respectée. Après avoir déterminé mes paramètres et effectué des recherches supplémentaires, je me suis inscrit à un stage de moniteur de snowboard de 11 semaines à Big White, en Colombie-Britannique, par l’entremise d’une entreprise appelée SnowSkool.

Je suis arrivé à Big White au début de janvier 2014 et j’ai tout de suite su que j’avais pris la bonne décision. J’aimais simplement l’ambiance entourant Big White et le fait que j’étais chaque jour sur les pentes à faire une chose que j’adorais. J’étais en formation cinq jours par semaine avec nos moniteurs de l’ACMS et j’ai rapidement été en mesure de perfectionner mes compétences sur les pistes, dans la poudreuse et dans le parc. J’ai également pu apprendre à connaître nos moniteurs et leur parler d’une carrière de moniteur de snowboard. À la fin de mes 11 semaines à Big White, j’avais obtenu mes certifications de moniteur de snowboard de niveaux 1 et 2, ainsi que ma certification de moniteur en parc de niveau 1 de l’ACMS; j’avais également la conviction qu’il s’agissait de la carrière pour moi.

Toutefois, peu importe à quel point je souhaitais travailler en tant que moniteur, il y avait encore la petite question de me trouver un emploi! C’est là que mes 11 semaines à Big White avec SnowSkool ont été utiles; c’est comme s’ils m’avaient fait passer une entrevue pendant 11 semaines et j’ai eu la chance d’obtenir un emploi à l’école de ski et de snowboard de Big White. Même si j’avais les compétences et que j’avais reçu une excellente formation initiale à Big White, je me souviens encore à quel point j’étais nerveux à ma première leçon; le premier jour, cinq planchistes débutants me regardaient en attente de conseils et je ne savais pas si je serais capable de parler et encore moins de leur montrer comment surfer!

Mais, bien sûr, ma formation et mes cordes vocales sont entrées en action et la leçon s’est bien déroulée, comme la majorité, je crois, des leçons que j’ai enseigné au cours de cette première saison. Alors j’avais le vent dans les voiles… et quand les gens me demandaient ce que je faisais comme travail, je pouvais fièrement leur répondre que j’étais un moniteur de snowboard! J’avais peine à y croire moi-même!

Maintenant, cinq ans plus tard, je peux non seulement dire aux gens que je suis un moniteur de snowboard, mais que je suis un moniteur de snowboard ayant travaillé en Australie (à Thredo pendant deux saisons), au Canada (une saison à Big White et deux saisons à Whistler-Blackcomb), en Nouvelle-Zélande (à Mount Hutt pendant une saison) et au Japon (une saison à Niseko, à Hokkaido). Avant d’entreprendre le programme de SnowSkool à Big White, je n’avais jamais quitté le Royaume Uni; quand j’analyse mon parcours de ces cinq dernières années, j’ai peine à y croire. Cela semble aussi très épuisant, mais j’imagine que ce n’est pas du tout une corvée quand on fait ce que l’on aime! En plus de travailler en tant que moniteur, j’ai ajouté d’autres certifications de l’ACMS à mon C.V. : j’ai obtenu ma certification de moniteur de snowboard de niveau 3 et me suis inscrit au stage d’évaluateur de niveau 1 de l’ACMS. J’ai également obtenu ma certification du module Introduction à la compétition du PECS ainsi que mon cours de sécurité en avalanche de niveau 1.

Et que vous dit mon histoire? Elle vous dit que peu importe d’où vous venez dans le monde, visez la certification de moniteur de l’ACMS qui, selon moi, offre le meilleur cadre de certification pour l’enseignement du snowboard. Puis, avec un peu de travail et de dévouement, cette certification vous donnera non seulement l’occasion de poursuivre une carrière dans l’enseignement du snowboard, mais aussi la chance de travailler à l’échelle internationale et de faire l’expérience de nouvelles cultures et manières d’enseigner. Je me suis éclaté et vous pouvez faire de même!

Stratégies pour des leçons couronnées de succès.

Vous avez suivi les stages de l’ACMS, appris les habiletés, les exercices, les outils d’analyse et d’amélioration. Ce qui est marrant, c’est que la majorité de ce que nous faisons au cours d’une leçon couronnée de succès (ou non) repose sur les autres éléments – les aspects non techniques qui n’ont pas grand-chose à voir avec le snowboard en réalité. C’est vrai – les meilleurs moniteurs ont cette capacité d’établir un lien avec leurs élèves en utilisant une combinaison d’humour, d’empathie, de conversation et de confiance. Réfléchissez à une expérience passée d’apprentissage ou de leçon vraiment agréable que vous avez vécue. Il est très probable que la qualité de cette expérience n’avait pas grand-chose à voir avec l’information technique transmise, mais beaucoup plus avec l’ensemble de l’expérience.

Les conseils suivants vous aideront à créer cette expérience pour vos élèves dans le cadre des leçons que vous enseignez. Mais attention, si vous excellez trop dans ce domaine, vos services seront très sollicités et vous empocherez beaucoup d’argent grâce aux demandes de leçons!

1 : Utilisez vos propres techniques

En bref, ayez confiance dans les techniques et méthodes que vous transmettez à vos élèves. Au fil des années, j’ai souvent entendu des moniteurs dire quelque chose se résumant à « quand j’enseigne, j’utilise la technique de l’ACMS, mais je ne l’utilise pas vraiment si je vais pratiquer le snowboard tout terrain simplement pour le plaisir ». Euh, pardon? Cela n’a jamais eu de sens pour moi. C’est comme un propriétaire de restaurant qui ne mange pas sa propre nourriture! En réalité, vous dites que les techniques que vous enseignez à vos élèves sont assez bonnes pour eux, mais pas pour vous. Dans l’industrie d’aujourd’hui, les leçons coûtent cher.

Les moniteurs d’aujourd’hui doivent être capables de communiquer la valeur (financière et autre) d’un produit de première qualité. Il est primordial d’avoir une confiance totale dans ce que vous enseignez à vos élèves pour être en mesure par la suite de vendre une leçon privée d’une journée à quelqu’un pour des centaines de dollars.

2 : Soignez votre technique

On vous observe! Prêtez attention aux détails de votre technique même quand vous n’êtes pas nécessairement en train de faire une démonstration. Vous transmettez des mouvements, des techniques et des méthodes visant à améliorer la technique de snowboard de vos élèves. Conservez votre crédibilité en les utilisant et en les démontrant quand vous surfez. Et on ne sait jamais, peut-être vous améliorerez-vous grâce à cela. Ces trucs fonctionnent après tout!

3 : Mangez bien

Ce point s’étend au-delà de la simple alimentation et devrait peut-être s’appeler « prenez soin de vous ». Notre état physique est étroitement lié à notre état psychologique et l’enseignement du snowboard est un travail physique. Vous offrirez un meilleur produit jour après jour si vous vous sentez bien, avez l’air bien et surfez bien.

Nous savons tous ce que c’est d’être blessé, d’avoir la gueule de bois, d’être fatigué ou juste à plat et d’essayer de faire quand même du bon travail ou juste d’être une bonne personne... ce n’est pas facile! Profitez du mode de vie en station pour lequel nous sommes tous là, mais essayez de créer les circonstances permettant d’éviter ces états négatifs dans votre vie. Vos élèves le savent quand vous n’êtes pas tout à fait là et en plus de mener à des expériences de leçons de moindre qualité (tant pour les élèves que pour vous), cela pourrait également accroître le risque de blessure, ce qui vous ferait perdre l’emploi que vous aimez.

Conseil de pro : Quelques efforts en dehors des heures de travail auront une grande portée. Étirements, raquette, marche, haltères, sauts, yoga, sauna... toutes ces activités vous aideront à vous sentir mieux que si vous allez vous détendre au bar après une journée sur la montagne.

4 : Utilisez leurs noms fréquemment et regardez-les dans les yeux

Je serais prêt à gager que la plupart des gens souhaitent entendre leur propre nom plus que tout autre mot, parce que c’est agréable! Il est plus probable que les gens se souviennent d’une leçon comme d’une belle expérience s’ils ont l’impression d’avoir créé un lien avec vous. Et l’une des façons les plus simples de créer un lien consiste à utiliser leurs noms. Cela montre que vous vous souciez d’eux.

Perception et réalité se confondent et le fait de dire « mon ami », « mon gars » ou « le gars au manteau bleu » laisse percevoir à vos élèves que vous ne vous souciez pas assez d’eux pour apprendre ou retenir leur nom.

De plus, faites preuve de sincérité en regardant vos élèves dans les yeux quand vous leur parlez. En plus de montrer que vous vous intéressez à vos élèves, il s’agit d’un signe de confiance, ce qui rapportera d’énormes dividendes au moment d’obtenir l’appui et la confiance de vos élèves. Vous voulez qu’ils croient en vous comme leader, et les leaders sont confiants (mais pas condescendants).

Conseil de pro : Le fait de répéter les noms souvent vous aidera également à mieux les retenir. Commencez immédiatement après les présentations en utilisant les noms des élèves dans une phrase ou une question. En outre, la situation peut devenir très embarrassante quand vous arrivez à la fin de la leçon et n’êtes pas en mesure d’utiliser les noms de vos élèves parce que vous ne les avez pas retenus dès le début!

5 : Mettez vos paroles à exécution

En bref, les petits détails ont une grande importance. Si vous dites que vous travaillerez sur les rotations à 180 degrés aujourd’hui parce que c’est ce que vos élèves ont demandé, alors travaillez sur ces rotations à 180 degrés. Si vous dites que vous ferez la descente X à titre de réchauffement parce que c’est leur préférée, faites cette descente.

Les leçons sont une expérience stressante pour bien des gens et les surprises ne feront qu’accroître ce stress. Donnez abondamment d’indications à propos de vos plans et faites de votre mieux pour respecter ces plans. Il y aura toujours des raisons vous empêchant de réaliser certains plans (météo, fermetures de piste, niveau d’habileté des élèves, sécurité, etc.), mais soyez clair et ouvert avec vos élèves quant à ces raisons. Il s’agit d’obtenir leur confiance.

6 : Sollicitez les commentaires (et ne soyez pas sur la défensive)

Les planchistes souhaitent naturellement s’améliorer sans cesse. En tant que moniteurs, nous sommes encore plus enclins à nous améliorer (connaissez-vous d’autres personnes qui consacreraient autant de temps que nous à perfectionner les virages à gauche et à droite?). Soyez ouvert aux commentaires sur votre technique, votre enseignement ou toute autre aspect de l’expérience de la leçon que vous créez et évitez d’adopter une attitude défensive. Il est facile de se placer dans l’état d’esprit que, comme moniteur, vous devriez tout savoir, mais en réalité ce n’est pas le cas (et ce n’est le cas pour personne), alors soyez ouvert à l’amélioration en acceptant la critique positivement. Regardez la critique comme une rétroaction et une occasion de vous améliorer!

7 : Admettez-le quand vous ignorez quelque chose

Ce point est connexe au précédent, vous êtes peut-être le moniteur, mais vous ne savez pas tout (comme tout le monde, vraiment). Vous avez le devoir vis-à-vis vos élèves d’en savoir le plus possible à propos du sport que nous aimons tous, ce qui renforce la crédibilité, mais il y aura toujours des choses que vous ignorez. Utilisez ces moments d’incertitude pour élargir vos connaissances et indiquez à vos élèves que vous chercherez la réponse.

Conseil de pro : Cette petite étape de dire que vous ferez l’effort de vous renseigner sur une chose que vous ignorez renforcera votre crédibilité à long terme; parce qu’en admettant que vous ignorez une chose, vous affirmez en fait que vous connaissez les autres choses et que tout ce que vous dites n’est pas du baratin!

8 : Soyez le premier arrivé et le dernier parti

Si vous voulez réellement être un leader, montrez votre engagement et instaurez la confiance en démontrant que vous êtes motivé, enthousiaste et prêt à diriger vos élèves. À la fin de la leçon, restez sur place pendant le départ de vos élèves afin de répondre aux questions, d’offrir des commentaires de dernière minute ou, mieux encore, de vendre une autre leçon!

Conseil de pro : En étant le premier arrivé, vous montrerez à vos superviseurs et collègues que vous êtes là pour les bonnes raisons et il en ressortira du positif pour vous. Prenez l’habitude de vous dire que les leçons commencent 15 minutes plus tôt que l’heure réelle afin d’être là quand vos élèves arrivent et ainsi être en mesure d’apprendre à les connaître et de leur poser quelques questions. Apportez des cartes professionnelles à distribuer à la fin de la leçon en indiquant les autres choses que vos élèves peuvent apprendre.

9 : Évitez de vous plaindre ou de chercher des excuses

Se plaindre et chercher des excuses sont des maladies contagieuses et dans un environnement d’école de glisse, elles peuvent se propager comme un cancer. Bien sûr, il est facile de se plaindre quand vous en êtes à votre douzième jour consécutif sur le tapis magique avec des débutants utilisant de l’équipement de location et qu’il fait moins 21 degrés. Rappelez-vous simplement ce pour quoi vous êtes payés. Gardez une vue d’ensemble à l’esprit et n’oubliez pas que les choses pourraient toujours être pires! Quelqu’un quelque part visse les bouchons sur les tubes de dentifrice à l’usine Crest.

Acceptez les leçons difficiles et utilisez-les comme un moyen de devenir un meilleur moniteur. Cela vous rapportera gros à long terme.

10 : Souriez!

Simplement, souriez. En tant que moniteur, vous êtes en quelque sorte le propriétaire d’une entreprise individuelle responsable de vos propres succès et revenus, et à titre de commerçant indépendant, votre sourire indiquera que vous êtes prêt à accueillir des clients. Retenez ces chiffres :7, 38, 55...

  • 7 % de la communication correspond à ce que vous dites (les mots que vous prononcez).
  • 38 % de l’efficacité de ces mots provient de la tonalité, de l’inflexion, du volume et de l’accentuation que vous placez sur ces derniers.
  • 55 % de votre communication repose sur le langage corporel. Vos élèves peuvent voir vos motivations réelles, votre état mental et votre volonté de créer une atmosphère positive dans votre langage corporel.

Un sourire installera ce langage corporel et vous placera dans un état d’esprit permettant aux autres choses de se mettre en place dans une leçon couronnée de succès. Pensez à une situation où vous avez parlé à quelqu’un au téléphone. Il est souvent possible de savoir si la personne sourit ou non par le son de sa voix! En personne, le sourire est encore plus important.

Conseil de pro : Souvenez-vous du point 9 vous invitant à éviter de vous plaindre. La prochaine fois que vous êtes tenté de vous plaindre, essayez plutôt de sourire. Ce simple geste peut renverser la situation pour vous.


Dégagement de responsabilité : L’information qui suit est adaptée d’une excellente vidéo sur laquelle je suis tombé produite par l’entraîneur et propriétaire de centre d’entraînement Ben Bergeron : « 10 Ways to Lead From the Front In Your Gym » (Chasing Excellence with Ben Bergeron). Jetez-y un coup d’œil sur YouTube.

Jeff Chandler
Coordonnateur technique national

 

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Un conseil technique de Yukiko Kawada

Pratiquer le snowboard en harmonie avec le terrain et utiliser toute la montagne comme un terrain de jeux est l’objectif ultime de plusieurs planchistes. Quand cela fonctionne, le planchiste reçoit de l’information de la part de l’environnement (conditions de neige, type de pente, etc.) pour déterminer comment être efficace, fluide et en synchronisme avec le terrain. Cela permet à un planchiste d’être plus indépendant; d’être en mesure d’explorer la montagne seul. Cela favorise également le plaisir et la liberté de pratiquer le snowboard!

Le 28 février 2018, l’ACMS a été reconnue et honorée sur la Colline du Parlement à Ottawa, quand notre premier ministre, le très honorable Justin Trudeau, a gracieusement accepté une certification de niveau 4 honorifique et le statut de membre à vie de notre Association, qui lui ont été accordés par le conseil d’administration de l’ACMS. Il s’agissait effectivement d’une plateforme réjouissante pour la reconnaissance de l’ACMS, tout en étant un grand honneur pour le premier ministre, selon ses propres dires. Vous trouverez ci après le contexte historique et le résumé du déroulement de ce moment de grande importance.

L’un de nos membres de longue date a récemment posé un geste assez incroyable...

Paul Faubert est membre de l’ACMS depuis le milieu des années 1990. Nous avons travaillé ensemble à Lake Louise pendant quelques saisons, jusqu’à ce que Paul passe à autre chose et décroche un emploi en plus de fonder une famille au début des années 2000. Il y a quelques années, nous discutions et je lui ai suggéré de participer à la formation des évaluateurs juste pour le plaisir, puisque le snowboard lui manquait en général, l’enseignement de stages plus particulièrement. Il a pris part à la formation des évaluateurs au cours des deux dernières saisons et il s’est éclaté (tout comme son vieil ami qui a eu le plaisir de faire quelques descentes ainsi que quelques remontées en télésiège en sa compagnie).

Canada Snowboard et l’Association canadienne des moniteurs de snowboard (CASI) sont heureux d’annoncer un accord qui permettra aux deux organisations de travailler en plus étroite collaboration qu’auparavant pour réaliser leur objectif commun de former des entraîneurs et moniteurs qualifiés, compétents et efficaces.

Remarque : Alyn Nash était un moniteur et évaluateur actif de l’ACMS résidant en Colombie‑Britannique. Malheureusement, Alyn est décédé le 2 septembre 2017. Le texte qui suit a été présenté par Jeff Chandler, coordonnateur technique national de l’ACMS, lors de la célébration de la vie d’Alyn tenue le 14 septembre à la station Big White, en Colombie‑Britannique. À compter de la saison 2017-2018, le prix de l’Évaluateur de l’année de la Colombie-Britannique sera désigné sous le nom du « Prix commémoratif Alyn Nash ». Alyn a été la première personne à recevoir ce prix lors de sa création en 2014.

Mon premier souvenir d’Alyn est lié à un examen de moniteurs de snowboard de niveau 3 que je dirigeais à l’époque – en 2006 environ. Je ne connaissais pas bien Alyn, mais je l’avais rencontré une ou deux fois, alors j’étais familier avec certaines de ses blagues. Il en avait toujours quelques-unes… certaines bonnes, d’autres moins. 

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Notre rôle : Nous sommes une association professionnelle sans but lucratif agissant à titre d’organisme canadien de certification pour l’enseignement du snowboard.
Notre mission : Promouvoir le meilleur enseignement du snowboard à l’échelle mondiale.
Notre vision : Être le chef de file mondial de la formation, de l’innovation et du perfectionnement professionnel des moniteurs de snowboard qui sont synonymes d’une industrie des sports de neige prospère, diversifiée et accessible.



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